Category: Coaching

Comment conclure sa conférence : 9 idées

Fort de son succès, notre article Comment bien commencer sa conférence, m’a soufflé l’idée de rédiger des recommandations sur comment bien conclure sa conférence. Si, comme nous le disions dans le précédent article, l’introduction permet à l’auditoire de décider s’il va ou non accrocher à ce que vous avez à dire, la conclusion permet de marquer les esprits, de laisser une impression durable.

C’est le moment de soulagement pour vous, l’orateur, et l’occasion de finir en beauté. Comment s’y prendre?

Une décision stratégique

En vérité, il existe plus d’une dizaine de manières de conclure et on peut toujours innover. Les conférenciers choisissent stratégiquement selon plusieurs critères : 

  • Son style personnel : suis-je plutôt du genre comique, poétique, scientifique, techno, rationnel, conteur…. 
  • Le thème de la conférence : sommes-nous dans un registre d’histoire personnelle, de présentation de produits ou services, de marketing, d’enseignement, de science, de philosophie…
  • Le temps qu’on souhaite y consacrer : reste-t-il assez de temps pour une anecdote par exemple ou a-t-on préféré occuper plus de temps à d’autres endroits stratégiques?

9 façons de conclure

Conclure une conférence de manière efficace est essentiel pour laisser une impression durable sur votre auditoire. Voici quelques stratégies utilisées par les meilleurs conférenciers :

1. Résumer : Récapitulez brièvement les points clés que vous avez abordés au cours de la conférence. C’est le classique des classiques, mais toujours efficace parce qu’il permet à l’auditoire de revoir et retenir les points importants. Cette conclusion est particulièrement utile lorsque le but de votre conférence est éducatif. 

2. Appel à l’action : Encouragez votre auditoire à mettre en pratique les éléments parcourus durant votre conférence ou faire de la « survente ». Donnez-leur des étapes concrètes à suivre, invitez-les à se fixer des rendez-vous pour passer à l’action ou ouvrez la porte à une suite, à suivre une conférence associée à celle-ci ou un atelier plus détaillé. 

3. Anecdote ou histoire : Racontez une anecdote ou une histoire pertinente qui illustre le message principal de votre conférence. Cela peut aider à marquer les mémoires. La technique peut ici être un peu théâtrale, elle repose généralement sur le « pathos » c’est-à-dire l’émotion. Il est essentiel que ce soit sincère et pertinent. L’aspect storytelling de cette fin peut même amener une touche poétique, humoristique, littéraire, historique… bref, quelque chose qui vous ressemble.

Par exemple, parlant de la destinée on pourrait finir sur le récit court de ce conte Perse : Au détour d’une rue à Bagdad, un homme tombe nez à nez avec La Mort. Terrifié, il enfourche un cheval et galope aussi vite que possible à travers le désert pour fuir et arrive à Samarcande. Voulant boire un verre d’eau pour se désaltérer, il entre dans un café et y trouve La Mort au comptoir. Il lui dit alors « Mais comment peux-tu être ici? Tu étais à Bagdad! » et La Mort lui répondit « Oui, j’étais étonnée aussi de te voir à Bagdad, puisque c’est ici, à Samarcande, que nous avions rendez-vous ». 

4. Question rhétorique : Posez une question stimulante qui incite à la réflexion. Cela peut susciter l’engagement de l’auditoire et donner matière à réflexion. Cela peut-être aussi simple que de poser une question ouverte « que ferez-vous la prochaine fois que… ?» 

5. Citation inspirante : Utilisez une citation célèbre ou inspirante qui résonne avec le thème de votre conférence. Les citations bien choisies peuvent renforcer votre message. De mon avis très personnel, ce n’est pas ma fin préférée parce qu’elle peut vite tomber dans la banalité. Citer n’est pas quelque chose qu’on tape Google pour parcourir des listes de citations sur notre thème, une citation doit venir de nos rencontres littéraires, scientifiques ou autres.

Je me rappelle, à 20 ans, je passais devant le jury de sélection d’une grande école et on me posait une question de sociolinguistique sur la sémiologie (l’étude des signes). Il se trouvait que la veille à la radio j’avais écouté une discussion sur Alain et Freud et j’y avais entendu une phrase du premier qui m’avait marquée. J’avais donc improvisé, avant de quitter la salle du jury, de lancer cette phrase que je jugeais assez mystérieuse et perturbante pour potentiellement me classer dans la liste des étudiantes qu’on oublierait pas ce jour là : « les signes sont des cris de poulets morts ». Effectivement, quelques semaines plus tard, je croisais un professeur qui était sur le jury et se souvenait très bien de moi. Au détour d’un couloir il m’a alors demandé ce que voulait dire cette drôle de phrase d’après moi… « Je n’en ai aucune idée » lui avais-je répondu!  

6. Vision d’avenir : Partagez votre vision de ce qui pourrait être réalisé si les idées de votre conférence étaient mises en œuvre ou invitez l’auditoire à se projeter dans sa propre réalité. Cela peut inspirer l’auditoire et s’appliquer particulièrement bien aux conférences technologiques, environnementales, philosophiques… D’un point de vue business, il peut s’agir de visualiser le temps gagné, les résultats optimisés ou le retour sur investissement si ils intégraient « telle chose » dans leurs processus ou tel produit dans leurs entreprise…  

7. Remerciements : Exprimez votre gratitude envers l’auditoire pour leur temps et leur attention. Les remerciements sincères sont toujours appréciés. C’est une fin simple, concise et sympathique. 

8. Ouverture à des questions : Si le temps le permet, ouvrez la séance de questions et réponses pour permettre à l’auditoire d’approfondir certains sujets. Souvent, on me dit « je suis stressé si on me pose une question à laquelle je ne sais pas répondre ». Non, c’est une opportunité! Dans ce cas, admettre qu’on a pas la réponse dans l’immédiat mais qu’on va se pencher dessus pour apporter une réponse, invitez la personne a venir à la fin vous rencontrer pour échanger vos coordonnées et vous lui reviendrez. 

9. Une touche personnelle : Terminez avec une touche personnelle, comme une anecdote personnelle ou une réflexion personnelle sur le sujet. Cela peut créer une connexion plus profonde avec l’auditoire. L’exemple donné au point 5 fonctionne ici aussi par exemple.

Conclusion

N’oubliez pas de maintenir un bon contact visuel avec l’auditoire, de parler clairement et avec conviction, et de gérer votre temps de manière à ce que la conclusion soit bien chronométrée. 

Si vous avez besoin de prendre du recul sur votre contenu et votre conclusion, vous pouvez vous exercer devant vos proches ou faire appel à notre équipe qui pourra vous accompagner dans la création de votre conférence, formation ou présentation en amenant un précieux regard extérieur. 

Et puisque chez La Slide nous sommes autant une agence de contenu que de design, je terminerais sur un dernier conseil design : si vous êtes accompagnés d’une présentation (Powerpoint / Keynote), ayez une dernière slide avec un fort impact visuel, peu ou pas de textes, une image pourrait-être suffisante. Et une fois la conclusion passée, ayez une slide avec vos informations personnelles! 

Besoin de parler de votre contenu ou de vos visuels?

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Les huit règles à suivre pour un design de présentation simple

« Making the simple complicated is commonplace; making the complicated simple, awesomely simple, that's creativity. » Charles Mingus

Faire simple n’est jamais facile. Charles Mingus l’illustre bien dans sa citation. 

Lorsqu’on crée une présentation, on fait face à un bon nombre d’enjeux : la quantité d’informations, l’ordre du contenu, l’illustration des informations, l’évidence des points-clés, l’adaptation au public ciblé…

Nous vous présentons 8 règles à suivre pour créer une présentation impactante, qui élèvera la qualité de votre contenu, facilitera votre rôle de présentateur et bonifiera l’expérience de votre public ou de vos apprenants :

1. Réduisez

Pour qu’une présentation soit simple, il ne faut jamais la surcharger de contenus. L’information affichée doit accompagner votre discours mais ne doit pas tout dire à votre place. Par exemple : Avez-vous vraiment besoin de montrer toutes les informations d’un grand tableau ou celui-ci a-t-il pour objectif de montrer une statistique qui serait suffisante, seule, sur cette slide?

Pensez aussi à avoir un nombre de slides bien adapté à la durée de la présentation. 

2. Triez

Au préalable, vous devez trier et sélectionner vos contenus pour hiérarchiser et prioriser l’information. Cela vous aidera à construire votre discours et à créer votre plan de présentation. Qu’est-ce qui est indispensable à afficher visuellement? Qu’est- ce qui ne pourrait être mentionné qu’oralement?

3. Un message = une slide

Ne lancez pas trente idées sur une seule slide! Trop d’informations font perdre le focus de votre audience. Les listes à puces sont un bon exemple de confusion. Elles sont faciles d’utilisation mais sont souvent trop chargées et l’audience ne les retient pas. Chaque point pourrait potentiellement avoir sa propre slide avec une image ou une iconographie personnalisée.

4. Hiérarchisez 

Titre, sous-titre, paragraphe… Optez pour un style et n’en changez pas! Votre audience doit être capable de comprendre rapidement et tout au long de votre présentation la manière dont sont structurés vos arguments. Ce sont des repères structurels qui facilitent la lecture de votre public. 

 

5. Adaptez

Cela peut paraître évident mais penser vos visuels dépend aussi du contexte de la présentation et de l’audience. 

Êtes-vous conférencier lors d’un évènement grand public? Est-ce que vous donnez une formation en entreprise? Est-ce une présentation à un Comité d’administration? Est-ce une demande de financement devant des financiers? Ils n’ont pas tous envie d’entendre la même chose, vos objectifs ne sont pas les mêmes. Gardez en tête ce qu’ils ont besoin de savoir et posez-vous cette question tout au long de votre préparation : « Avec quoi je veux que mon audience reparte à la fin de ma présentation ». 

6. Simplifiez

Évitez les polices d’écriture trop « à la mode » ou difficiles à lire. Utilisez maximum deux styles de polices : un pour les titres, l’autre pour le texte (repensez au point 4).

Évitez d’utiliser trop de couleurs. Une ou deux couleurs principales et une couleur d’accent devraient suffire.

Ne surchargez pas les slides avec des icônes ornementales inutiles ou des illustrations trouvées sur Google Images (attention aux droits d’auteur).

7. Illustrez

Les tableaux et infographies sont de très bons outils pour présenter l’information, mais ils sont risqués à cause de leur complexité. Repensez au point 1 en allant extraire un chiffre ou une statistique d’un tableau trop large. Donnez lui de l’emphase en l’accompagnant d’un texte de 2 lignes ou d’une illustration parlante. 

Même chose pour une infographie, si vous souhaitez simplement montrer une tendance avec des courbes, n’affichez pas trop de chiffres.

8. Touchez

Simple ne veut pas dire ennuyeux, froid, noir et blanc. Vous pouvez tout à fait sortir du lot en épurant votre contenu et en le rendant original et percutant via un jeu de couleurs limité, un bon choix typographique, des photos professionnelles et harmonieuses (unsplash.com).

La simplicité consiste donc à soustraire ce qui est évident et rajouter ce qui a du sens. C’est la loi cardinale selon John Maeda, diplômé du MIT, est considéré comme l’un des plus grands et influents web-designer actuel.

Notre équipe est spécialisée dans la décomplexification et l’esthétique des présentations. Si vous souhaitez effectuer un travail collaboratif sur le Powerpoint ou le Keynote que vous avez préparé, nous serons heureux de vous aider.  

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Comment bien commencer sa conférence 

Avant de rédiger cet article, j’ai mené des recherches pour considérer ce que les autres spécialistes disent sur comment bien commencer une conférence. En tapant ces mots clefs sur Google, on se retrouve rapidement sur YouTube et la plupart des coachs donnent des exemples tirés de présentations TED.

Voici un résumé :

Selon Andrii Sedniev, l’auteur de Magic of public Speaking, l’auditoire décide en 7 secondes s’il vous aime et après 30 secondes s’ils vont vous écouter ou non. Partant de là, trois options sont proposées pour commencer sa conférence :

  1. Commencer par une histoire personnelle
  2. Poser une question provocante
  3. Faire une déclaration percutante

« Quand j’avais 9 ans… »

J’aime particulièrement l’introduction de Susane Caïn qui parle de « La force des introvertis ». Elle commence par une anecdote en s’accompagnant d’un accessoire : son sac rempli de livres. C’est une excellente tactique qui donne de la contenance, rassure l’intervenant et interpelle le public. « Mais que cache-t-elle dans ce gros sac ? ». Elle combine plusieurs stratégies telles que l’accessoire, l’anecdote personnelle et une phrase comique. Ce dernier élément est particulièrement osé pour une introvertie, mais gageons qu’en tant que coach, elle s’est entraînée très rigoureusement et que son attitude enthousiaste contribue à son audace !

« Qu’est-ce que les Français font mieux que les autres ? »

Dans un style assez différent, nous trouvons Cédric Villany qui commence sa conférence TED « Les maths sont fondamentalement sexy ! » de manière classique dans ce contexte, par une question légère qui laisse une ambiguïté sur le sérieux de la réponse à apporter. Il lève tout de suite le voile en y répondant avec humour. Le ton est donné, le public est connecté ! Ce choix d’ouverture est très pertinent puisqu’il aborde un sujet d’apparence complexe et prétendument peu attirant.

« Vous entendez ce bruit ? »

Une de mes présentations de la famille TED préférée c’est celle de Will Stephen « Comment avoir l’air intelligent en faisant une conférence à TEDx talk ». Il n’y parle… de rien ! Il n’a absolument rien à dire. Cependant, il s’adonne à un exercice bien plus difficile qu’il n’y parait, en dévoilant les secrets de la prosodie. Il extrait le contenu du discours pour déplier les ressorts du contenant : moduler sa voix, utiliser le silence, contrôler le rythme de parole et les intonations… Grâce à tous ces éléments, il est capable de nous communiquer une foule d’émotions sans avoir rien dit ! C’est beau la voix humaine. Lui aussi commence par une question. Mais celle-ci est impossible, c’est-à-dire que le public ne peut même pas suggérer une réponse. « Vous entendez ce bruit ? » En faisant cela, il retarde l’impression que l’auditoire va se faire de lui : est-ce un imposteur, un comique, un gars antipathique *? D’ailleurs au fur et à mesure de sa conférence on voit que le public réagit de plus en plus.

*D’ailleurs c’est effectivement un humoriste / acteur / écrivain

« Bonjour, bonsoir, peu importe… ouh ouh ouh ouh ouh »

La célèbre Jane Goodall spécialiste des chimpanzés opte pour une entrée percutante en réalisant un cri de singe. Faut oser, mais ça marche ! Ce n’est pas une approche que je recommanderais à une personne anxieuse de parler en public, mais faire une déclaration surprenante peut se faire de mille façons.

Et si on regardait autre chose que les TED ?

Qu’ont en commun toutes ces conférences TED ? Ce sont des formats courts qui mettent en scène l’intervenant à la manière d’un show et ils ont un objectif marketing visant à placer un produit/cause/service.

Sont-ils des exemples pertinents ? Oui, mais ce ne sont pas les seuls ! Ils nous font oublier, comme le démontre si bien Will Stephen, qu’il y a un contenu et que celui-ci ne se résume pas aux 7 premières secondes ou aux 30 premières secondes… Parce qu’en réalité pendant une conférence les cerveaux de nos spectateurs se déconnectent et se reconnectent continuellement. Et aussi parce qu’il faut s’adapter au contexte de la présentation et à son public cible. 

Pour une demande de financement la stratégie visant à commencer par une statistique impactante est très appropriée. Pour une offre de service on peut ouvrir par un rappel du besoin du client, cela aura un double effet : montrer qu’on le comprend et qu’on s’adresse bien à lui directement. Il existe plusieurs approches, il est essentiel de trouver celle qui vous met à l’aise et s’aligne avec votre personnalité et qui marquera votre audience. 

Si vous aimeriez en parler avec un spécialiste, visitez notre page dédiée et prenez contact avec nous. Notre équipe peut vous aider à créer le contenu et les visuels pour vos conférences pitchs, demandes de financements, présentations de services…  

Les autres options pour vos pitchs, conférences, demandes de financements...

Allons voir du côté des conférences universitaires que je connais bien puisque je viens de cet univers-là.

J’ai eu la chance de travailler auprès de grands chercheurs issus des sciences humaines. On ne compte plus le nombre de conférences que ces scientifiques donnent chaque année, mais on sait que leurs contributions augmentent notre savoir et transforment nos perceptions du monde.

Maurice Godelier a une manière très directe de capter l’attention ! Il le fait individuellement, car il a l’habitude originale de tutoyer son auditoire. Selon les conférences, il débute par une anecdote personnelle qui énonce une théorie communément admise et annonce qu’il va prouver son contraire ! D’autres fois, il démarre par un aveu, par exemple à l’Université de Genève en janvier 2017, au début de laquelle, il dit qu’il va changer son introduction et commencer par la conclusion pour s’adapter aux interventions qui avaient eu lieu avant la sienne. Cette capacité à s’adapter au contexte et à ceux qui nous entourent est probablement le secret le mieux gardé des débuts de présentations. C’est un secret que les conférences TED ne disent pas.

Concluons avec une question :

Quelle est la manière d’introduire sa présentation dont nous n’avons pas parlé, dont Google et Ted oublient l’existence, mais qui pourtant fait école depuis longtemps ?

Commencer par énoncer le sujet ! « De quoi va-t-on parler aujourd’hui ? » Ce n’est plus une entrée populaire sur le web, pourtant, elle permet de revenir à l’essentiel : le contenu ! Le message compte plus que n’importe quoi, il est la raison pour laquelle vous et votre auditoire êtes là. Ma recommandation est de ne pas toujours aller vers le spectaculaire, le Patos à tout prix, un contenu bien construit suffit à marquer les consciences. 

Le meilleur conseil que vous recevrez pour débuter convenablement votre conférence c’est celui-ci : « prenez soin de votre contenu et soyez vous-même ! » En vous appuyant sur votre contenu, vous trouverez la manière la plus authentique, celle qui vous ressemble, pour traverser les premières minutes qui sont généralement les plus stressantes.  

Si vous avez besoin de challenger votre contenu ou de vous aider à le construire et de l’accompagner de visuels qui contribuent à appuyer, clarifier ou optimiser votre message, n’hésitez pas à nous contacter. 

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Pourquoi un guide des conférenciers ?

L’équipe de La Slide dévoile son tout premier e-book qui s’adresse aux conférencières et conférenciers sans limites d’expérience ou d’expertise.

Après 4 ans à préparer et gérer les discours publics du président d’une entreprise québécoise, j’ai voulu créer un guide utile et pratique pour les orateurs en résolvant les problèmes que nous rencontrons presque toujours. J’ai ainsi réfléchi à une boîte à outils visant à faciliter l’organisation d’une conférence : to do list des choses à ne pas oublier, les questions à poser aux commanditaires… Pour tout vous dire, j’ai voulu résoudre toutes les problématiques qui revenaient à chaque nouvelle présentation que je préparais. Je suis bien heureuse de vous les partager en espérant que cela participera à augmenter votre efficacité et à optimiser votre organisation. La boîte à outils saura vous accompagner durablement dans vos prestations. 

Ce e-book présente également les techniques oratoires, les erreurs à éviter, la gestion du stress, la structure d’un bon plan pour créer son contenu. Il aborde des notions mal connues telles que la prosodie ou encore des sujets très tendance comme le storytelling. Durant 4 années, j’ai assisté à un très grand nombre de conférences de diverses formes (ateliers, discussions, pitch, pecha kucha, grand oral, Ted…) et c’est encore une fois grâce à ces expériences et aux 12 années en recherche et enseignement universitaire qui les ont précédées que j’ai réuni les conseils les plus pertinents que vous trouverez ici.

Ce e-book a été conçu dans le but de faciliter la création d’une conférence, de diminuer les pertes de temps pour se concentrer sur ce qui compte vraiment : le message et la manière de livrer ce message. Notre mission est de participer à la diffusion des connaissances grâce au partage, c’est pour cette raison que nous sommes heureux de vous offrir gratuitement ce e-book disponible dès maintenant sur notre site web laslide.com.   

Un grand merci à Nicolas, notre extraordinaire directeur de création, qui a entièrement designé ce livre avec le talent et le perfectionnisme qu’on lui connait.

Toute l’équipe de La Slide vous souhaite une bonne lecture et n’hésitez pas à nous écrire un mot s’il joue son rôle en vous accompagnant dans votre quotidien d’orateur.

Obtenez votre exemplaire du guide des conférenciers


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Paola coach art oratoire

À propos de l’auteur de l’article :

Paola est spécialiste en prise de parole et en analyse de contenu.  

Anthropologue, ayant travaillé plusieurs années en Océanie sur une île de pirates et dans beaucoup de bibliothèques, elle est formée à la recherche, à la sémantique, à l’art oratoire et à la rédaction. C’est à son poste de directrice du marketing et des communications, occupé jusqu’en 2016, qu’elle a rencontré l’idée de La Slide. Elle aide ses clients à travailler le contenu de leurs présentations pour renforcer leur message.

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